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Choses à Savoir TECH

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  • La Chine dépense des milliards pour faire le plein de puces NVIDIA ?
    Depuis 2022, Washington serre la vis sur l’exportation de puces électroniques vers la Chine. Les restrictions se renforcent encore, notamment pour limiter l'accès aux technologies nécessaires à l'intelligence artificielle. Jusqu’ici, les géants chinois pouvaient encore se fournir en puces H20 bridées de NVIDIA. Mais cet accès devrait être drastiquement réduit, dans un contexte de guerre commerciale de plus en plus tendu.Anticipant ce durcissement, Alibaba, Tencent et ByteDance auraient passé pour 12 milliards de dollars de commandes auprès de NVIDIA depuis l’an dernier. L'objectif : constituer des stocks stratégiques avant d’éventuelles nouvelles sanctions. En parallèle, certaines entreprises chinoises tentent de contourner les restrictions en créant des filiales à l’étranger pour sécuriser leur approvisionnement. Une pratique dans le viseur des autorités américaines : TSMC, le géant taïwanais, a confirmé coopérer avec Washington pour tracer l’origine de certaines commandes suspectes.Pendant ce temps, Huawei avance ses pions. Le groupe s'apprête à livrer massivement une nouvelle puce d'IA, combinant deux processeurs 910B en un seul module. Cette innovation, grâce à des techniques d'intégration avancées, offrirait des performances proches du H100 de NVIDIA. Un exploit, même si technologiquement, Huawei reste encore derrière son rival américain. Cette course à l'armement technologique illustre les effets parfois paradoxaux des sanctions américaines. Certains experts alertent d’ailleurs la Maison-Blanche : en tentant de freiner la Chine, les États-Unis pourraient bien stimuler, malgré eux, une industrie locale de l’IA plus indépendante et plus agressive. La rivalité sino-américaine pour la maîtrise de l'intelligence artificielle ne fait que commencer. Et derrière les puces, ce sont des enjeux économiques, militaires et géopolitiques majeurs qui se dessinent. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    1:50
  • Être payé pour ne plus utiliser Google ?
    Quitter Google : on en parle souvent, mais dans les faits, rares sont ceux qui passent à l’acte. Un document de recherche, récemment publié, révèle pourtant des pistes inattendues pour bousculer la suprématie du géant californien.Menée par des économistes de Stanford, du MIT et de l’Université de Pennsylvanie, cette étude, parue en janvier 2025, s’est penchée sur les raisons du quasi-monopole de Google dans la recherche web. Près de 2 500 internautes américains ont participé à cette enquête. L’objectif : déterminer si Google domine par la qualité de ses résultats ou simplement par défaut, faute d’exposition à d'autres moteurs comme Bing. Les chercheurs ont testé plusieurs scénarios : imposer un choix actif du moteur de recherche, changer le moteur par défaut, ou encore payer les utilisateurs pour essayer Bing pendant deux semaines. Résultat ? Forcer un choix actif ne bouge presque rien : seulement +1,1 point pour Bing. Une preuve que l’écran de choix, comme celui imposé par l’Union européenne, a peu d’impact.En revanche, dès qu'une rémunération entre en jeu, tout change. Avec 1 dollar offert pour utiliser Bing, sa part de marché grimpe à 32 %. Avec 10 dollars, elle atteint 64 %. Au-delà, la progression ralentit : 74 % pour 25 dollars. Mais attention : une fois l’argent retiré, beaucoup d’utilisateurs sont revenus à Google. Pourtant, environ 22 % ont choisi de rester sur Bing plusieurs semaines après l’expérience. Preuve qu’une exposition plus longue peut réellement modifier les habitudes. Pourquoi Google tient-il si fort sa position ? Parce qu’il s’impose partout, en particulier via des accords massifs. Il verse par exemple 18 milliards de dollars par an à Apple pour rester le moteur par défaut de Safari. Les autorités américaines, engagées dans une procédure judiciaire contre Google pour pratiques anticoncurrentielles, s'inspirent de ces résultats. Selon le Washington Post, elles envisagent non seulement des mesures radicales – comme forcer la revente de Chrome – mais aussi des campagnes d’incitation pour pousser les internautes à tester d’autres moteurs. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:08
  • Cookiecrumbler, le puissant outil IA de Brave contre les cookies ?
    Bonne nouvelle pour tous ceux qui en ont assez de cliquer "refuser" à chaque page : le navigateur Brave passe à la vitesse supérieure dans la lutte contre les bannières cookies. Son nouvel outil, Cookiecrumbler, s’appuie sur l’intelligence artificielle pour détecter et bloquer automatiquement ces fenêtres intrusives… sans compromettre la navigation.Présenté une première fois en 2024, Cookiecrumbler franchit aujourd’hui une étape importante en devenant open source. Objectif : mobiliser la communauté de développeurs pour affiner encore plus ce filtre intelligent. Car derrière la simplicité de l’outil, la mécanique est complexe : des robots logiciels explorent des milliers de sites populaires, listés par régions selon la base Tranco, pour identifier les pop-ups de consentement. À chaque visite, un modèle d’IA analyse les éléments suspects et propose des corrections adaptées, évitant ainsi de casser l’affichage ou de perturber les fonctionnalités des sites.Contrairement aux blocages classiques basés sur des règles figées, Cookiecrumbler ajuste son action en fonction de chaque page et de chaque contexte. Mieux : avant d’être intégrées, toutes les détections sont validées manuellement. Une double vérification qui limite drastiquement les faux positifs — ces erreurs qui, parfois, font disparaître un site entier avec la bannière. Autre innovation : en rendant ses résultats publics sur GitHub, Brave invite chacun à participer à l'amélioration continue de l’outil. Une manière de rester agile face à un web en perpétuelle mutation et d’ancrer Cookiecrumbler dans les valeurs fondatrices du navigateur : transparence, protection de la vie privée, et communauté ouverte.À terme, Brave prévoit d’intégrer Cookiecrumbler directement dans son navigateur, après un audit complet pour garantir une confidentialité maximale. Mais dès aujourd’hui, cet outil offre aux internautes une expérience de navigation plus fluide, débarrassée des interruptions incessantes sans sacrifier le bon fonctionnement des sites. Bref, avec Cookiecrumbler, Brave veut transformer chaque session web en un espace où le respect de votre vie privée redevient la norme, sans avoir à cliquer à chaque coin de page. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:14
  • Une IA recrée la voix d’un muet grâce à ses pensées ?
    Imaginez passer 18 ans sans pouvoir prononcer un mot. C’est ce qu’a vécu une patiente après un grave AVC. Quadriplégique et atteinte d’aphasie sévère, elle conservait pourtant une volonté intacte de s’exprimer. Mais son corps, lui, ne répondait plus. À San Francisco, une équipe menée par le neurochirurgien Edward Chang vient de faire un pas spectaculaire : lui redonner une voix, par la seule force de son cerveau… et d’une machine.Le principe ? Une neuroprothèse vocale, un type d’interface cerveau-machine. Concrètement, des électrodes implantées dans son cortex moteur — la zone qui commande les muscles de la parole — captent les signaux électriques lorsque la patiente « pense » à parler. Ces données sont ensuite traduites, en temps réel, par une intelligence artificielle. Une première IA les convertit en texte, une seconde les transforme en son. Et ce que la bouche ne peut plus articuler, la machine le fait entendre, avec un décalage d’à peine une seconde. Le processus est encore lent — 47 mots par minute — mais bien plus rapide qu’il y a un an, où il fallait attendre huit secondes par mot. Pour que le système apprenne à décoder ses intentions, la patiente s’est entraînée pendant des semaines à « dire » mentalement des phrases tirées d’un lexique de 1 024 mots. Chaque signal est analysé toutes les 80 millisecondes, phonème par phonème, puis recomposé en phrase.Le résultat ? Une voix synthétique, certes, mais une voix. Une voix sans chaleur, sans inflexion, mais qui brise le silence. Le système ne lit pas les pensées, ni les émotions. Il capte uniquement ce moment précis où l’esprit tente de parler. Pour Sergey Stavisky, spécialiste des neuroprothèses, ce n’est que le début. Demain, ces technologies pourraient reproduire le timbre, le rythme, voire permettre de chanter. Déjà, des start-up comme Precision Neuroscience planchent sur des capteurs plus fins, plus durables, capables de rester dans le cerveau à long terme. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:04
  • Apple va entrainer son IA sur votre iPhone discrètement ?
    Chez Apple, on ne plaisante pas avec la confidentialité. Et cela se voit jusque dans sa toute nouvelle initiative en matière d’intelligence artificielle : Apple Intelligence. Lancée récemment, cette IA maison n’a pas vraiment brillé à ses débuts. Comparée à des géants comme ChatGPT ou Gemini, elle montre déjà ses limites. Mais la firme de Cupertino compte bien rattraper son retard – à sa manière.Car pour progresser, une intelligence artificielle a besoin de données. Beaucoup de données. Et là où d'autres géants du numérique n’hésitent pas à puiser dans les informations personnelles de leurs utilisateurs, Apple prend un virage très différent. La firme a dévoilé une nouvelle méthode d’entraînement basée sur des données synthétiques comparées localement aux données réelles, directement sur les appareils des utilisateurs. Prenons un exemple concret : un mail que l’IA doit résumer. Apple génère plusieurs e-mails fictifs, couvrant divers styles et scénarios – comme “Rendez-vous à 18h pour jouer au tennis.” Ces exemples sont transformés en “embeddings”, des représentations numériques qui incluent la longueur du message, le ton, le sujet, etc. L’iPhone de l’utilisateur compare ensuite ces données synthétiques à son propre e-mail réel – sans jamais envoyer ce dernier à Apple. Le seul signal transmis indique quelle version synthétique est la plus proche.Et pour brouiller encore plus les pistes, Apple applique ce qu’on appelle la confidentialité différentielle : des éléments aléatoires sont ajoutés pour rendre impossible toute identification précise. Résultat : Apple peut améliorer ses modèles en repérant les formulations les plus fréquentes, sans jamais lire vos messages ni savoir d’où viennent les données. Ce modèle respecte donc scrupuleusement la vie privée. Mais ce choix a un prix : le développement est plus lent. Siri, déjà en retrait depuis des années face à Alexa ou Google Assistant, a souffert du même dilemme. Et avec Apple Intelligence, l’histoire semble se répéter. Cupertino ne veut pas transiger sur la confidentialité – mais cela freine son avance dans la course à l’IA. Hébergé par Acast. Visitez acast.com/privacy pour plus d'informations.
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    2:07

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